Pourquoi l’Histoire de France connaît tant (tant ou si peu ?!) de « révoltes » ? Si ce que conte l’auteur est exact, et parfois, important, il aurait fallu mettre en rapport (ce qu’il fait brièvement avec la « gabelle ») sur cette autre spécialité française : les injustices, qu’elles soient faibles ou fortes, ont été constantes et nous continuons. Il y a donc les révoltés et celles et ceux qui « causent » ces révoltes par leur capacité à imposer des injustices, c’est-à-dire des violences, des préjudices.